Bauerfeind moves Claudia

Claudia Déverin, restauratrice, vit sa passion la gastronomie avec tout son cœur. Elle est toujours pleine d’énergie, même lorsque le dernier client est parti, grâce aux bas de compression médicaux.

Claudia a la restauration dans le sang : ses parents étaient gérants d’un restaurant près de Stuttgart. Elle travaille au Seerose Resort & Spa sur les rives du lac de Hallwil depuis 2007. Récemment, cette hôtelière de métier et mère de deux enfants a réussi sa formation de sommelière en décrochant le brevet fédéral. Travailler et vivre aussi pleinement implique d’être beaucoup sur les jambes.

Claudia, entre la cuisine et les tables, tu parcours chaque jour plusieurs kilomètres, surtout lorsque la terrasse est ouverte…

Oh, oui, nous marchons vraiment de grandes distances sur une journée de travail. Cela se ressent surtout dans les jambes. Heureusement, je ne souffre pas de varices ou d’autres problèmes veineux, je fais de la zumba et j’aime bien aller nager durant mon temps libre. Cela m’aide, mais sans soutien aucun, cela ne saurait toutefois être possible. Mon médecin m’a conseillé les bas de compression médicaux de Bauerfeind. La santé des jambes étant très importante pour moi, je porte régulièrement les mi-bas VenoTrain micro pour travailler.

Les bas de compression font donc partie de tes vêtements de travail ?

Oui et non. Je les porte aussi durant mon temps libre ou en voyage. Mais je les assortis alors à mes tenues. On trouve bien aujourd’hui des bas dans des couleurs tendance, et depuis que les collants opaques sont à la mode, on ne voit pratiquement plus la différence avec les bas classiques. En revanche, la différence se ressent d’autant plus.

Les bas de compression ne sont-ils pas inconfortables avec la chaleur estivale ? 

Au contraire, j’aime porter les Bauerfeind VenoTrain toute l’année. Surtout en été, ils soulagent et préviennent les jambes gonflées. Les jours de grande affluence, il m’arrive de passer dix heures debout et je veux faire bonne impression y compris sur les derniers mètres. C’est agréable de profiter pour ainsi dire d’un massage automatique. J’apprécie aussi grandement l’effet lorsque je voyage.

En tant que sommelière, tu dois certainement avoir un bon nez. Quel arôme t’as le plus séduite ?

Honnêtement, la réglisse ! Son arôme doux-amer me rappelle mon enfance, ces escargots noirs que j’adorais dérouler et manger. Je suis fascinée par les parfums et les arômes qu’un vin peut dégager. Outre la réglisse, il y a aussi le cuir, les fleurs de tilleul, le bois, le sureau, le miel, la framboise… Beaucoup de gens ont perdu la faculté de reconnaître les parfums, mais c’est une aptitude qui s’entraîne. Je vis avec tous mes sens et j’adore les parfums. J’en prends particulièrement conscience dans la nature. J’apprécie chaque fleur qui me séduit olfactivement, surtout les glycines au printemps.

As-tu un vin préféré ?

Je n’aime pas trop me fixer dans ce domaine. Les vins du Sud de la France m’ont beaucoup séduite. Le Carignan a longtemps été coupé et c’est pourquoi on le connaît mal. Le domaine Richeaume produit un excellent vin exclusivement à partir de ce cépage. La carte des vins du Seerose compte 720 vignobles du monde entier, dont d’innombrables trouvailles du Bordelais. La cave est un petit paradis pour les amateurs de vin.

On dit que tout bon vin est sublimé lorsqu’il accompagne le bon menu ? 

C’est vrai. Ce qu’on appelle le « food pairing » me plaisait déjà beaucoup lors de ma formation de sommelière. Je suis toujours heureuse quand un client ose s’aventurer sur un terrain inconnu sur mon conseil et prend ainsi plaisir à élargir son horizon gustatif. Mon ambition et ma motivation est de voir repartir les clients le sourire aux lèvres.